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Ils sont eux même divisés en 2 espèces : le rhinocéros noir et le rhinocéros blanc, bien qu’ils soient tous les deux de couleur brune à gris foncé. On les distingue en réalité par une série de caractéristiques physiques allant de la taille à la forme de ses oreilles et de sa bouche.

Le rhinocéros blanc est déjà le plus massif des deux. Il peut atteindre jusqu’à 3,6 tonnes pour le mâle et 1,7 tonnes pour les femelles selon les données émises par WWF. Le rhinocéros noir ne pèse qu’entre 800 kg et 1400 kg.

Ensuite, la bouche est caractéristique chez chacune de ces espèces. Elle est en effet carrée, large et parfaitement adaptée pour arracher l’herbe au sol pour le rhinocéros blanc tandis que le rhinocéros noir dispose d’une lèvre supérieure pointue qui lui sert à attraper les branches et à les porter à la bouche.

Le rhino noir possède également des oreilles plus arrondies et en forme de trompette par rapport aux oreilles longues et rectangulaires du rhinocéros blanc.

Enfin, le rhino noir présente un dos concave alors que le rhino blanc est surtout doté d’une bosse au niveau du cou. La nuance est subtile mais bien réelle.[/fusion_text][/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container][fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ layout= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none » last= »no » hover_type= »none » link= » » border_position= »all »][fusion_text]

La sauvegarde du rhinocéros blanc a été l’une des plus grande réussite de l’histoire de la protection animale. L’espèce a été réintroduite avec succès dans de nombreux parcs nationaux et réserves privées.

On comptabilisait environ 17000 têtes en 2007. Mais l’espèce reste menacée par le braconnage. Contrairement à son cousin, le rhinocéros noir a subit l’un des déclins de grands mammifères les plus rapides de l’Histoire. Entre 1970 et 1995, leur nombre est passé de 65000 à 2500.

Ce déclin est essentiellement du à la destruction de son habitat. Mais ces 30 dernières années, le braconnage est le principal fléau. Depuis 2006, la majorité des activités de braconnage ont été réalisées au Zimbabwe et en Afrique du Sud. La population des 2 espèces, qui augmentait depuis 1995 au Zimbabwe, subit de nouveau une forte diminution depuis 2007.

Les rhinocéros sont chassés pour leur corne qui contrairement à une croyance généralisée n’est pas utilisée uniquement pour des vertues aphrodisiaques imaginaires, mais surtout pour la médecine traditionnelle orientale particulièrement au Vietnam et en Chine.

Les rhinos sur le web : WWF : rhino noir – WWF : rhino blanc – Rapport IUCN – Save the rhino

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Les conseils du bestiologue pour observer les rhinos

Malgré son effrayante réputation, le rhinocéros noir n’est pas si dangereux. Dans la plupart des cas, les charges ne sont que du bluff destiné à faire fuir les intrus. Quoiqu’il en soit, restez méfiant face à lui et si ça devient nécessaire : courrez vous cacher derrière un arbre et restez immobile. Souvenez-vous que le rhino ne charge qu’un fois et qu’il repartira immédiatement sans se retourner ! Un autre tuyau : l’animal ne sait pas sauter. Un simple obstacle entre lui et vous devrait suffire à vaincre ses éventuels élans belliqueux …

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Les meilleurs spots du bestiologue pour trouver les rhinos Kruger NP
Afrique du Sud (Rhino blanc) N’Gorongoro
Tanzanie (Rhino noir) Hwange NP / Sinamatella
Zimbabwe (Rhino noir)

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Les rhinos dans l’UICN Red List RL LC Rhino blanc : quasi-menacé Rhino noir : en danger critique d’extinction La Liste rouge UICN des espèces menacées ™ est largement reconnu comme l’approche la plus complète et la plus globale pour évaluer l’état de conservation des espèces végétales et animales. Depuis ses débuts modestes, la Liste rouge de l’UICN a grandi en taille et en complexité et joue désormais un rôle croissant dans l’orientation des activités de conservation des gouvernements, des ONG et des institutions scientifiques.

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