[fusion_builder_container hundred_percent= »no » equal_height_columns= »no » menu_anchor= » » hide_on_mobile= »small-visibility,medium-visibility,large-visibility » class= » » id= » » background_color= » » background_image= » » background_position= »center center » background_repeat= »no-repeat » fade= »no » background_parallax= »none » parallax_speed= »0.3″ video_mp4= » » video_webm= » » video_ogv= » » video_url= » » video_aspect_ratio= »16:9″ video_loop= »yes » video_mute= »yes » overlay_color= » » video_preview_image= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » padding_top= » » padding_bottom= » » padding_left= » » padding_right= » »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ layout= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » border_position= »all » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »small-visibility,medium-visibility,large-visibility » center_content= »no » last= »no » min_height= » » hover_type= »none » link= » »][fusion_text]
Le grand koudou est une antilope dont le mâle se caractérise par de grandes cornes striées et torsadées pouvant atteindre 1,8 m de hauteur.
La robe de ces herbivores va du brun au gris et présente une douzaine de fines rayures blanches, positionnées à la verticale, que possèdent également les nyalas, une autre antilope très proche de cette espèce.
Mâles et femelles possèdent de grandes oreilles, leur permettant d’accentuer leur capacité auditive, et un chevron blanc entre les deux yeux.
On trouve les koudous dans les savanes boisées et les terrains accidentés, non loin de points d’eau, aussi bien au Sud de l’Afrique, qu’à l’Est et au Centre.
Dans la savane, ces antilopes n’ont pas la vie facile. En pénurie de nourriture en saison sèche, elles sont très dépendantes de l’arrivée des précipitations. Tout retard peut même leur être fatal, en particulier pour les individus les plus vieux et les plus jeunes dont la force corporelle serait insuffisante pour résister à cette épreuve. Les femelles, dont les besoins en nourriture sont moins importants, s’en sortent généralement mieux.
Les mâles doivent également faire face à d’autres difficultés. Pendant la période de ruts, les affrontements peuvent parfois se terminer par un enchevêtrement de cornes tels qu’ils leur est impossible de se défaire et que la mort est certaine pour les deux combattants ! Plus grands que les femelles, ils sont aussi moins agiles pour échappper aux prédateurs. Mais, petit avantage, ils ne sont la proie que des lions et des hyènes tandis que les femelles doivent faire face à un nombre plus grands de carnivores.
[/fusion_text][/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container][fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ layout= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none » last= »no » hover_type= »none » link= » » border_position= »all »][fusion_text]
Les femelles, les petits et les jeunes vivent en petit troupeau pouvant atteindre une vingtaine d’individus tandis que les mâles restent en solitaire.
Même s’ils sont des proies relativement faciles du fait de leur faible performance à la course et même s’ils sont régulièrement les victimes des hommes qui les chassent pour le trophée, les koudous restent toujours bien représentés en Afrique australe.
[/fusion_text][fusion_separator style_type= »single solid » top_margin= »40″ bottom_margin= »40″ sep_color= » » border_size= » » icon= »fa-thumb-tack » icon_circle= » » icon_circle_color= » » width= » » alignment= »center » class= » » id= » » /][fusion_text]
Les conseils du bestiologue pour observer les kudus
Les koudous ont tendance à se montrer plutôt le matin ou le soir lorsqu’ils se mettent à découvert pour s’alimenter de feuilles et de pousses. Ils passent le reste de la journée planqués dans des buissons, à l’abri des regards et des convoitises. Si vous les rencontrez dans les régions à mouches tsé-tsé comme Kafue, prenez garde à ne pas ouvrir la fenêtre … Ils sont un de leurs hôtes préférés ! Le bestiologue vous aura prévenu ;-)
[/fusion_text][/fusion_builder_column][fusion_builder_column type= »1_2″ layout= »1_2″ spacing= »yes » last= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ class= » » id= » » min_height= » » hover_type= »none » link= » »][fusion_text]
Main CampHwange NP, Zimbabwe
Chobe River FrontBotswana
Kafue NPZambie
[/fusion_text][/fusion_builder_column][fusion_builder_column type= »1_2″ layout= »1_2″ spacing= »yes » last= »yes » center_content= »no » hide_on_mobile= »no » background_color= » » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » background_position= »left top » border_position= »all » border_size= »0px » border_color= » » border_style= »solid » padding= » » margin_top= » » margin_bottom= » » animation_type= »0″ animation_direction= »down » animation_speed= »0.1″ class= » » id= » » min_height= » » hover_type= »none » link= » »][fusion_text]
Préoccupation mineure : risque faible d’extinction La Liste rouge UICN des espèces menacées ™ est largement reconnu comme l’approche la plus complète et la plus globale pour évaluer l’état de conservation des espèces végétales et animales. Depuis ses débuts modestes, la Liste rouge de l’UICN a grandi en taille et en complexité et joue désormais un rôle croissant dans l’orientation des activités de conservation des gouvernements, des ONG et des institutions scientifiques.[/fusion_text][/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container]
