[fusion_builder_container hundred_percent= »no » equal_height_columns= »no » menu_anchor= » » hide_on_mobile= »small-visibility,medium-visibility,large-visibility » class= » » id= » » background_color= » » background_image= » » background_position= »center center » background_repeat= »no-repeat » fade= »no » background_parallax= »none » parallax_speed= »0.3″ video_mp4= » » video_webm= » » video_ogv= » » video_url= » » video_aspect_ratio= »16:9″ video_loop= »yes » video_mute= »yes » overlay_color= » » video_preview_image= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » padding_top= » » padding_bottom= » » padding_left= » » padding_right= » »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ layout= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » border_position= »all » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »small-visibility,medium-visibility,large-visibility » center_content= »no » last= »no » min_height= » » hover_type= »none » link= » »][fusion_text]S’il y a bien des animaux difficiles à distinguer les uns des autres, ce sont ceux qui appartiennent à la sous-famille des Alcelaphinés. Hormis le gnou dont la morphologie est plus singulière, ces bovidés présentent des caractéristiques physiques très semblables qui peuvent nuire à leur identification la plus formelle.
On retrouve en effet dans ce même ensemble 3 genres différents que sont les bubales roux (Alcelaphus buselaphus), les bubales de Lichtenstein (Alcelaphus lichtensteinii) et les damalisques (Damaliscus), ce dernier regroupant également un certain nombre de sous-espèces dont les topis (Damaliscus korrigum) et les tsessebes (Damaliscus lunatus). Il y a donc de sérieuses raisons d’y perdre son latin …
Globalement, bubales et damalisques se caractérisent tous deux par la position surélevée des épaules par rapport au garrot, un dos incliné, une large poitrine, une tête étroite et allongée. C’est en y regardant de plus près que l’on peut remarquer certains signes distinctifs. D’une part les bubales ont un front plus long, surmonté d’un pédoncule osseux sur lequel se plantent les cornes tandis que les damalisques possèdent un front de taille normale. Cette différence morphologique peut suffire à elle seule pour se repérer mais la forme des cornes est également un bon moyen de s’y retrouver.
Voyez plutôt :
C’est ensuite la région géographique et la couleur du pelage qui aidera à déterminer la sous-espèce de l’animal. Et là, ce n’est pas simple non plus, puisqu’il existe de nombreuses sous-espèces qui ne font même pas consensus auprès de la communauté scientifique. On retrouve notamment :
Dans le genre « bubale » :
- Le bubale roux ou bubale caama ou bubale du Cap : pelage brun, tâches noires sur le haut des pattes, nez et front noirs, cornes en V, essentiellement présent dans le Kalahari (Namibie, Botswana et Afrique du Sud),
- Le bubale rouge : pédoncule particulièrement développé, uniformément brun, cornes en V, présent au Tchad, Soudan et Ouganda
- Le bubale de Jackson : uniformément brun, cornes en V, pratiquement identique au bubale rouge, présent en Ouganda et Kenya,
- Le bubale de Coke : pédoncule moins développé, présent au Kenya et en Tanzanie.
Dans le genre « damalisque » :
- Le topi : présent en Afrique de l’est,
- Le tsessebe ou sassabi : présent dans le nord de l’Afrique australe, plus particulièrement au Botswana et au Zimbabwe mais aussi en Afrique du Sud, en Zambie et dans l’est de l’Angola.
Et classé à part :
- Le bubale de Lichtenstein : pédoncule moins développé, aux cornes plus courtes formant un O de face et dont les extrémités sont arquées en arrière, croupe blanche, menton et extrémité de la queue noirs. Les populations les plus viables se trouvent en Tanzanie, en Zambie et au Malawi. Cette espèce est considérée comme la plus rare aujourd’hui après qu’elle ait été victime de la réduction de son habitat et de la chasse.
Alors, prêt pour un test ?[/fusion_text][/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container][fusion_builder_container hundred_percent= »yes » overflow= »visible »][fusion_builder_row][fusion_builder_column type= »1_1″ layout= »1_1″ background_position= »left top » background_color= » » border_size= » » border_color= » » border_style= »solid » spacing= »yes » background_image= » » background_repeat= »no-repeat » padding= » » margin_top= »0px » margin_bottom= »0px » class= » » id= » » animation_type= » » animation_speed= »0.3″ animation_direction= »left » hide_on_mobile= »no » center_content= »no » min_height= »none » last= »no » hover_type= »none » link= » » border_position= »all »][fusion_text]
Les bubales et damalisques se montrent particulièrement endurants grâce à la finesse de leurs pattes. A la course, certains peuvent atteindre 70km/h sur de courtes distances, ce qui est suffisant pour échapper à leur prédateurs parmi lesquels on retrouve lions, hyènes, léopards et guépards.
Selon la densité des animaux, la structure de leur habitat et les conditions climatiques, les bubales et les damalisques peuvent être sédentaires ou nomades. Un habitat morcelé favorisera une installation plus durable. Dans ce cas, les mâles occupent des territoires accueillant plusieurs petits groupes de femelles.
Au contraire, les vastes plaines permettent le rassemblement et le mouvement migratoire des animaux. A la saison sèche notamment, bubales ou damalisques peuvent se regrouper en vastes troupeaux, partant en quête de nouveaux pâturages et de points d’eau. Au Botswana, dans le désert du Kalahari, les animaux ont d’ailleurs été victimes des barrières vétérinaires posées arbitrairement sur la route de leur migration, décimant près de 70% de la population de la région.
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Les conseils du bestiologue pour observer les bubales et damalisques
Les bubales et damalisques ne sont pas si fréquent à observer et il faudra déjà trouver le bon parc avant de trouver le bon animal. Une fois sur place, vous constaterez que ces animaux ne se montrent pas particulièrement farouches et qu’il est possible de les approcher sans qu’ils ne s’enfuient. Et si vous plantez votre tente en haut d’une colline de l’Akagera, il se pourrait bien que vous partagiez ce moment avec un topi se demandant pourquoi vous vous installez sur sa nourriture !
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Zambie
Parc national de l’Akagera
Rwanda
Central Kalahari GR
Botswana
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Ils ont un drôle de regard, non ? ;-)