Départ pour le Zimbabwe : Paris – Joburg – VicFalls

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Il faut l’avouer, voyager en A380 a été une belle surprise. J’avais pourtant juré de ne jamais mettre les pieds dans ce gros paquebot et une fois devant le monstre, l’angoisse était bien là …

Mais finalement, on est plutôt à l’aise dans cet avion. Bien sur au décollage, on sent que c’est pas tout léger mais la cabine est très silencieuse et les sièges beaucoup plus moelleux que sur le 777 que nous avions l’habitude de prendre ! Résultat, on pourrait même le recommander :) On conseille d’ailleurs de prendre des places plutôt sur le pont supérieur, elles sont plus confortables sans compter que l’embarquement et le débarquement sont notablement plus rapides.

Et pour nous, c’était même une chance ! Nous avions moins d’1h30 pour attraper notre correspondance vers VicFalls à l’autre bout de l’aéroport de Johannesburg. Grâce à notre sortie éclair et après un petit footing matinal, on a pu s’enregistrer en temps et en heure.

A la porte d’embarquement, nous retrouvons 3 des 4 autres volontaires : Annabelle, Olivier et Damien.

Après 2h de vol, nous arrivons à proximité des chutes Victoria. Petit tuyau, la vue est assurée côté gauche de l’avion !

Nous débarquons sous une belle chaleur et un ciel magnifique. Mais il nous faudra attendre presque 2h pour passer la douane et s’acquitter du visa (30 USD). Devant cette lenteur bureaucratique, on conseille cette fois-ci de se placer à l’avant de l’avion, avant gauche étant donc la position idéale :o)

Tous les bagages sont là (Yes !) et un taxi nous attend pour nous emmener chez Lorries B&B où le dernier volontaire, David, se trouve déjà.

Tous remués par le voyage, on décide de profiter du B&B pour le reste de la journée. Dès 16h, on se met au bar pour l’apéro tout en faisant connaissance avec Little Cat, Maza et surtout avec Georges. Georges est un ancien militaire et à 74 ans, il tient le bar de Lorrie avec une certaine énergie et a toujours des histoires marrantes à raconter et à mimer.

De notre côté, on va se présenter à Lorrie avec qui nous avons communiqué par email et on discute de notre semaine à Chizarira et Matusadona. Lorrie semble inquiète à l’idée que nous partions seuls dans cette zone du pays. Chizarira a mauvaise réputation à cause du braconnage intensif qui s’y est perpétré pendant des années. Elle promet de se renseigner pour nous dire ce qu’il en est vraiment aujourd’hui.

On termine la journée tranquillement. On veille un peu après le dîner, aidé par la Zambezi et les Gin Tonic, et on file tous au lit. Demain matin, nous partons visiter les chutes avant de commencer la mission.

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2016-12-02T14:09:50+00:00

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