La trousse de secours, on espère ne pas en avoir besoin, mais si elle devait servir, il vaut mieux qu’elle soit bien faite. Alors dedans, on a mis :
- Des pansements, des compeed, du sparadrap,
- Des bandes extensibles,
- Une paire de ciseaux pointus,
- Des compresses stériles 10×10,
- Des compresses tulle gras,
- Des compresses alcoolisées,
- Des bandes steristrip,
- Des paires de gants en latex,
- Un désinfectant cutané (eau oxygénée),
- Une pince à tique,
- Des épingles de sureté,
- Un thermomètre électronique,
- Une couverture de survie.
En plus de la trousse de secours, nous aurons un aspi venin, même si aucune preuve d’efficacité n’ait jamais été fournie, ça rassure. On emporte aussi les médicaments qui peuvent dépanner, car il n’y aura pas de médecin sur place :
- L’anti-palludéen biensur (Malarone),
- Des antalgiques (paracétamol) et anti-inflamatoire (ibuprofène),
- Un anti-allergique,
- Tout ce qu’il faut pour les maux de ventre (ercefluril, smecta, …),
- Un antibiotique large spectre,
- Du collyre pour les yeux,
- Un purificateur d’eau (micropur),
- De la biafine.